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David Ferrer
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Florian Mayer
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Tendance des pronostics
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2.4% (8)
Ferrer
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Mayer
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Set 2
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Jeu de service
Break
Inconnu
Latest flashs flash
Rublev poursuit sa résurrection à Madrid ! Tout n’est pas toujours prévisible au tennis. Andrey Rublev, balbutiant depuis des semaines, a très tranquillement disposé de Taylor Fritz (13e mondial) pour rallier la finale (6-4, 6-3). Toujours aussi efficace au service (83% de points gagnés sur premier service) et assez incisif au retour (4 breaks réussis), le Russe n’a laissé aucune chance à son adversaire. Auteur d’un match de très haute tenue (20 coups gagnants, 5 aces, 10 fautes directes), le numéro 8 mondial va tenter, ce dimanche, de s’adjuger un second sacre en Masters 1000 (après Monte-Carlo 2023). En cas de sacre, il en profiterait pour remonter au 6e rang mondial. En finale, il défiera le vainqueur du match entre Félix Auger-Aliassime (35e) et Jiri Lehecka (31e).
A Madrid, Rublev renaît de ses cendres ! Arrivé en crise à Madrid, Andrey Rublev va tenter de signer une nouvelle finale en Masters 1000 ce vendredi. Et, le numéro 8 mondial a clairement la faveur des pronostics ! Il est, d’assez loin, le joueur au plus gros pedigree des quatre demi-finalistes. On peut le dire sans exagérer : l'opportunité de s’adjuger un deuxième titre en Masters 1000 (après Monte-Carlo 2023) est énorme. Pourtant, la saison sur terre battue avait très mal commencé pour le Russe. Disqualifié pour propos injurieux à l’encontre d’un juge de ligne en février (face à Bublik en demi-finale de Dubaï), le natif de Moscou a enchaîné les contre-performances (4 défaites de rang avant d’arriver à la capitale espagnole). Oui mais voilà, comme il le dit lui-même, tout peut très vite changer dans le tennis : “Pendant six semaines, je n’ai rien gagné. Il vaut mieux ne pas y penser du tout. [...] Ça arrive à tout le monde, tous les joueurs sont passés par ces moments. Le plus important est de continuer à travailler, de s’améliorer et de se rappeler qu’en une semaine tout peut changer.” (propos recueillis en conférence de presse suite à sa victoire face à Carlos Alcaraz 4-6, 6-3, 6-2). Plus puncheur que jamais, Rublev a su s’appuyer sur des frappes sèches et sur un service assassin pour retrouver le chemin de la victoire à Madrid. Son service justement, c’est peut-être l’arme la plus marquante dans son jeu cette semaine. Comme en témoigne le petit mot glissé par Carlos Alcaraz à l’issue de leur match (“T’as super bien servi mec !”), Rublev sert très bien. Le Moscovite le reconnaît lui-même : “Ces deux derniers matchs, j'ai vraiment bien servi. Avoir à chaque jeu des points gratuits est un vrai plus.” (propos relayés par L'Equipe). Cela dit, cette efficacité au service n’est pas très surprenante puisque le Russe est le troisième meilleur serveur du circuit cette saison (90% de jeux de service remportés en moyenne en 2024). De son service de tueur, découle d'ailleurs tout le reste de son tennis basé sur des frappes puissantes et étouffantes. Plus encore que sa première balle, c’est la qualité de la deuxième balle du numéro 8 mondial qui commence à faire peur. Longtemps assez friable sur deuxième service, le Russe progresse à vue d'œil dans ce domaine : “On le sait, tous les joueurs sont agressifs et essaient d'attaquer sa deuxième balle. C'est pour ça qu'on essaie de gagner en vitesse, de prendre plus de risques. Il progresse au quotidien.” (Fernando Vicente, entraîneur de Rublev). Avec une telle qualité de service, il n’a plus qu’à améliorer son efficacité sur balle de break et il pourrait encore monter d’un cran (40e mondial en termes de conversion de balles de break en 2024). Pour une place en finale, Rublev défiera un autre joueur très à l’aise au service, Taylor Fritz (13e mondial). Cela dit, cet adversaire lui rappelle forcément de beaux souvenirs puisqu’il l'avait battu en demi-finale à Monte-Carlo (5-7, 6-1, 6-3) l’an passé avant de s’adjuger le titre face à Holger Rune.
Alcaraz fait l’impasse sur Rome ! Rome perd déjà l’une de ses plus grosses têtes d’affiche. Décidément, les semaines se suivent et se ressemblent un peu trop pour Carlos Alcaraz. Forfait à Monte-Carlo puis à Barcelone, le numéro 3 mondial a annoncé son forfait pour le Masters 1000 de Rome. Dans un message posté sur ses réseaux sociaux, il explique : "J’ai ressenti une douleur après avoir joué à Madrid, une gêne dans le bras. Aujourd’hui, j’ai passé des examens et j’ai constaté un œdème musculaire, conséquence de ma dernière blessure. Malheureusement, je ne pourrai pas jouer à Rome. J’ai besoin de repos pour récupérer et pouvoir jouer sans douleur à 100%" Résultat des courses : l’Espagnol va arriver à Roland-Garros avec un seul tournoi joué sur terre battue (Madrid). Auteur d’un tournoi espagnol satisfaisant malgré sa défaite en quarts de finale, ‘Carlito’ semble avoir fait le choix de la prudence en déclarant forfait pour le dernier gros tournoi sur ocre avant Roland-Garros. Avec une préparation aussi entachée, Alcaraz aura peut-être un peu moins la faveur des pronostics que prévus à Paris. Heureusement pour lui, il avait perdu dès le troisième tour l’an passé (à Rome) et restera donc, quoi qu’il arrive, numéro 3 mondial à Roland-Garros.
A Madrid, Sabalenka est prête à rééditer l’exploit : “Je suis très enthousiaste à l’idée de disputer cette finale” Alors qu’à son arrivée à la capitale espagnole Aryna Sabalenka était en plein doute (4 victoires en 8 matchs depuis l’Open d’Australie), le tenante du titre sera bien présente ce samedi pour défendre sa couronne. Malgré plusieurs matchs très accrochés (4 victoires en 3 sets), la Biélorusse semble retrouver son tennis. Toujours aussi puissante derrière sa ligne de fond, elle a fini par écoeurer toutes ses adversaires. Malgré un tableau pour le moins difficile au vu de son statut, la numéro 2 mondiale a réussi à franchir tous les obstacles (enchaînant des victoires sur Danielle Collins, Mirra Andreeva et bien sûr Elena Rybakina). Cependant, c’est le défi ultime qui l’attend samedi (pas avant 18h30). Certes, Sabalenka n’est pas n’importe quelle joueuse. Numéro 2 mondiale, la Biélorusse, deux fois titrée en Grand Chelem (Open d’Australie 2023 et 2024), n’en est pas à son premier coup d’essai. Bien que derrière dans les confrontations directes (7-3), elle s’est déjà imposée contre l’inépuisable Polonaise. Ainsi, parmi toutes les joueuses, c’est probablement elle qui a le plus de chances de mater Swiatek. Cela dit, réussir à conserver son titre en éliminant Swiatek en finale ressemblerait quand même à un sacré exploit. Rééditer la performance déjà réalisée l’an passé signifierait beaucoup puisque depuis cette finale de 2023, Swiatek a remporté toutes les autres finales qu’elle a disputées (7). En un an, Swiatek c’est désormais 9 finales. Et, si Sabalenka s’impose ce samedi, elle aura été la seule à la stopper à ce stade la compétition (à 2 reprises qui plus est). Interrogée sur cette finale de rêve, la Biélorusse a déjà hâte d’y être : “Ce sera une grande finale. Avec Iga, nous avons eu d'excellents matchs dans le passé, des batailles très difficiles. Je suis très enthousiaste à l'idée de disputer cette finale et je vais faire tout ce qui est en mon pouvoir pour remporter cette victoire. Nous nous améliorons toutes les deux, nous faisons des ajustements tout au long de l'année. Encore une fois, la stratégie principale sera de me concentrer sur moi-même, de rester agressive et de faire confiance à mes coups.”
Tombeuse héroïque de Rybakina, Sabalenka savoure : “Je ne sais pas comment j’ai fait” Dans un match plus tendu que jamais, Aryna Sabalenka a arraché son billet pour la finale de Madrid au bout du suspens (1-6, 7-5, 7-6 en 2h17). Opposée à une Elena Rybakina très en place, la Biélorusse a longtemps été dominée avant de sortir la tête de l’eau. Après un premier set à sens unique (6-1) où la numéro 2 mondiale n’a pas réussi à mettre son jeu en place, le match a doucement commencé à s'équilibrer. Retrouvant une première balle efficace, Sabalenka allait se révéler de plus en plus pressante au retour. Refaisant son break de retard, elle reprenait les commandes avant de prendre une ultime fois le service de son adversaire pour recoller à une manche partout (7-5). Dans un dernier acte où les deux joueuses tenaient leur service jusqu’au bout, c’est finalement dans un tie-break de très haut niveau que la tenante du titre allait s’imposer sur sa troisième balle de match (1-6, 7-5, 7-6). Interrogée sur cette victoire assez miraculeuse, la joueuse de 25 ans ne semblait pas vraiment en revenir : “Honnêtement, je ne sais pas comment j’ai fait. J'ai juste essayé de faire de mon mieux, de me battre sur chaque point. J'espérais avoir une chance de faire basculer le match, donc je suis super contente d'y être parvenue. Je suis vraiment contente parce que c'était un match très difficile, je me suis battue contre mon service pendant tout le premier set, je n'arrivais pas à prendre confiance jusqu'à ce que je commence à gagner des jeux plus facilement. Cela m'a donné de l'énergie supplémentaire pour continuer à me battre. [...] Le fait de retrouver un service normal m'a donné l'opportunité de me battre pour le match.” (propos recueillis en conférence de presse). Depuis quelque temps, de nombreux suiveurs du tennis féminin tendent à considérer Aryna Sabalenka, Iga Swiatek et Elena Rybakina comme un “big 3”. Questionné sur l'existence réelle ou non de ce “big 3”, la double vainqueure de l’Open d’Australie (2023, 2024) a plutôt répondue par l’affirmative : “J’aime le fait que nous soyons appelés les Big 3, j’ai l’impression que, d’une certaine manière, nous nous motivons les uns les autres. Parfois, nous nous donnons du fil à retordre, mais en même temps, cela nous aide à nous améliorer et à travailler de plus en plus dur, à la recherche de nouvelles choses. J’ai été absente pendant quelques tournois (aucune demi-finale depuis l’Open d’Australie), donc nous verrons comment les choses évoluent, cela n’a été qu’un tournoi. J’espère que la saison se poursuivra ainsi et que nous redeviendrons le Big 3.” En finale, Aryna Sabalenka défiera l’éternelle numéro 1 mondiale, Iga Swiatek. Ce match sera une revanche puisque l’an passé la Biélorusse avait réussi l’exploit de faire tomber la Polonaise pour s’adjuger un deuxième sacre à Madrid (après 2021).
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