account_circle
Register
menu
person
Premium Avatar
Autentificare
Register
Katarina Jokic
6
6
0
0
0
Elena Malygina
1
1
0
0
0
All
Jok
Mal
Reduce
Serve game won
Serve points won %
Break point saved
Return points won %
Break point obtained
Puncte de break castigate.
Points won %
Game-uri la 0.
Mingii de set
Minge de meci
Set 1Set 2Set 3Set 4Set 5
Jok
Mal
Set 1Set 2Set 3Set 4Set 5
Jok
Mal
Set 1Set 2Set 3Set 4Set 5
Jok
Mal
Set 1Set 2Set 3Set 4Set 5
Jok
Mal
Set 1Set 2Set 3Set 4Set 5
Jok
Mal
All
Mal
Jok
Expand
Puncte de break castigate.
Points won %
Set 1Set 2Set 3Set 4Set 5
Jok
Mal
Set 1Set 2Set 3Set 4Set 5
Jok
Mal
Set 1Set 2Set 3Set 4Set 5
Jok
Mal
Set 1Set 2Set 3Set 4Set 5
Jok
Mal
Set 1Set 2Set 3Set 4Set 5
Jok
Mal
All Set 1Set 2Set 3Set 4Set 5
Jok
Mal
Serve
Return
All Set 1Set 2Set 3Set 4Set 5
Jok
Mal
Serve
Return
All Set 1Set 2Set 3Set 4Set 5
Jok
Mal
Serve
Return
All Set 1Set 2Set 3Set 4Set 5
Jok
Mal
Serve
Return
All Set 1Set 2Set 3Set 4Set 5
Jok
Mal
Serve
Return
All Set 1Set 2Set 3Set 4Set 5
Jok
Mal
Serve
Return
All Set 1Set 2Set 3Set 4Set 5
Jok
Mal
Serve
XX
XX
Return
XX
XX
All Set 1Set 2Set 3Set 4Set 5
Jok
Mal
Serve
XX
XX
Return
XX
XX
All Set 1Set 2Set 3Set 4Set 5
Jok
Mal
Serve
XX
XX
Return
XX
XX
All Set 1Set 2Set 3Set 4Set 5
Jok
Mal
Serve
XX
XX
Return
XX
XX
All Set 1Set 2Set 3Set 4Set 5
Jok
Mal
Serve
XX
XX
Return
XX
XX
All Set 1Set 2Set 3Set 4Set 5
Jok
Mal
Serve
XX
XX
Return
XX
XX
Latest flashs flash
Face à Hurkacz, Nadal devra faire mieux : “Il faut que je perde la peur que j’avais” Quel Rafael Nadal sera sur le court ce samedi ? Le Majorquin, visiblement de mieux en mieux physiquement, réalise des performances très inégales depuis son retour à la compétition. Non coutumier du fait, l’Espagnol doit désormais composer avec cette inconstance chronique. Alors qu’il vit, vraisemblablement, sa dernière saison professionnelle, ‘Rafa’ espère encore accrocher quelques succès de prestige à son immense carrière. Pour ce faire, il va d’ores et déjà répondre présent à un sacré test ce samedi (pas avant 13h) puisqu’il s’apprête à défier Hubert Hurkacz (9e mondial). Bien que son adversaire ne soit pas un spécialiste de la surface, ce match pourrait bien être un baptême de feu pour l’Espagnol qui devra répondre présent dès le début s’il veut s’imposer face au meilleur serveur du circuit (385 aces servis cette saison, 1er au classement) Interrogé en conférence de presse, en marge de ce duel très attendu, le roi de l’ocre explique qu’il soit arriver à se refaire confiance et à jouer sans la peur : “C'est difficile parce que j'essaie de faire les choses pas à pas, en s'améliorant chaque jour, mais il y a un moment où je dois essayer de me donner à 100 %. Il faut que je perde la peur que j'avais. À Brisbane, j'ai eu une petite déchirure à l'endroit où je me suis blessé et pour laquelle j'ai dû subir une intervention chirurgicale. Ils ont dû retirer une partie importante de mon tendon du psoas et renforcer cette zone plus qu'avant. Il faut du temps pour que la hanche s'habitue à la nouvelle configuration. J'ai fait des progrès au cours des dernières semaines, mais je dois maintenant aller de l'avant. Je dois voir comment les choses évoluent. Si je peux m'adapter à tout. Roland-Garros est dans trois semaines et je dois pousser mon corps à se préparer pour ce qui arrive.” Rentrant un peu plus dans le détail, l’actuel 305e joueur mondial explique qu’à un moment donné il va falloir qu’il essaye de jouer à fond pour se prouver à lui-même qu’il en est encore capable : “J'ai toujours des problèmes, la question est de savoir s'ils me limitent ou non. D'une certaine manière, ils me limitent, mais je dois essayer de ne pas le faire. Je dois me débarrasser de cette peur de la rupture. Une fois cette période de transition passée, je dois me forcer et faire mes preuves. Si je craque, je craque. Pas de chance. C'est l'objectif de cette semaine. La réalité, c'est que des matches comme celui-ci aident le corps à s'adapter aux niveaux d'exigence fixés par le circuit. Si je sors vivant de ces matches, c'est toujours une bonne nouvelle. Au niveau du tennis, je dois faire les choses beaucoup mieux. Je pense que je suis capable de jouer beaucoup mieux qu'aujourd'hui. Je me sens plus proche du niveau que je veux atteindre à l'entraînement, mais je dois ensuite le mettre en pratique dans les matchs et cela me coûte. Au jour le jour, j'ai une vision positive de la situation.” Ainsi, ce tournoi romain semble bel et bien être un moment décisif dans la suite de la saison, et de la carrière, du Majorquin.
Vainqueur dans la douleur, Nadal est encore en rodage : “Ce n’était pas mon meilleur match” Le niveau de tennis de Rafael Nadal est difficilement prévisible. Après un tournoi de Barcelone très moyen, le Majorquin a réalisé un tournoi madrilène plutôt rassurant avec trois victoires à la clé. Alors que la plupart des voyants semblaient au vert (victoire contre Cerundolo à l’entraînement), le roi de la terre battue a eu bien plus de mal que prévu lors de son entrée en lice. Opposé au modeste Zizou Bergs (108e mondial, issu des qualifications), l’Espagnol a eu besoin de trois sets pour se qualifier. Interrogé en conférence de presse, celui qui a remporté 14 fois à Roland-Garros s’est confessé : “Ce n’était pas mon meilleur match (face à Zizou Bergs, jeudi). [...] Je m'entraîne mieux que ce que j'ai joué aujourd'hui, sans aucun doute, mais j'ai trouvé le moyen de gagner. C'est très important en début de tournoi. Mon jeu est plus imprévisible qu'avant. Je n'ai pas beaucoup joué au tennis ces deux dernières années, donc j'ai connu des hauts et des bas. Je pense que je peux faire beaucoup mieux qu'aujourd'hui et j'espère pouvoir le faire au prochain tour. C'est toujours très émouvant de jouer ici. C'est l'un des tournois les plus importants de ma carrière de tennisman. Le public a toujours été formidable avec moi, me soutenant depuis le début de ma carrière, donc je suis très excité de jouer une fois de plus ici.”
Rybakina en remet une couche sur le nouveau format : "On va dans la mauvaise direction" Avant de renoncer à concourir à Rome (malade), Elena Rybakina avait été questionnée sur la réforme des calendrier mise en place par l’ATP et la WTA. Pour rappel, la majorité des WTA 1000 et Masters 1000 ne se jouent plus sur 7 mais sur 12 jours avec des tableaux de 92 joueurs ou joueuses. Comme bien d’autres joueurs et joueuses avant elle, Rybakina en est allé de sa critique personnelle. En effet, bien qu’elle se soit finalement retirée du tournoi (perdant ainsi ses 1000 points gagnés l’an passé), la numéro 4 mondiale affiche le même son de cloche que beaucoup d’autres professionnels (Zverev, Swiatek, Garcia...) : ce changement est une erreur. Ainsi, elle a expliqué en conférence de presse : “Je dirais que c'est long parce que ça devient un peu ennuyeux de rester vraiment trop longtemps dans ces tournois. Je ne sais pas. Il est peut-être logique qu'Indian Wells et Miami aient cette durée, mais le faire lors de ces deux événements, peu avant Roland Garros... Avec les nouvelles règles, il n'y a pas de marge de manœuvre, nous sommes obligés de participer à trop de tournois. On va dans la mauvaise direction, il y a beaucoup de choses à améliorer sur le circuit et l'année dernière j'ai perdu beaucoup d'énergie à essayer de changer les choses. Je me suis rendu compte qu'il était très difficile de le faire, alors je vais simplement assumer les règles et faire de mon mieux.” Alors que les critiques continuent de pleuvoir, les instances dirigeantes du tennis vont-elles encore longtemps continuer à garder ce même cap quelque peu discutable ?
Fognini, la fin n'est pas encore venue : "La compétition est ce qui me maintient à flot" Malgré quelques points merveilleux, Fognini n’a pas fait le poids contre Taylor Fritz (battu 6-3, 6-4). l’Italien, plus vraiment à la page physiquement, peut toujours compter sur un bras magique lui permettant d’encore gagner quelques matchs. A l’approche de Roland-Garros où il a souvent bien joué, l’Italien de 36 ans a confirmé sa volonté de jouer encore un moment : “J'ai toujours ce feu en moi. La compétition est ce qui me maintient à flot. Perdre, ça fait partie du sport et ce petit détail ne m’intéresse pas. Tant que j’aurai ce feu à l’intérieur de moi, vous devrez encore me voir encore longtemps.” A l’approche des retraites de certains grands noms du tennis (Nadal, Murray, Thiem,...), ‘Fogna’ ne semble, de son côté, pas prêt de vouloir s’arrêter.
Dominic Thiem, l’histoire d’une étoile un peu trop filante - Portrait A seulement 30 ans, Dominic Thiem va mettre fin à sa carrière. Comme l’Autrichien l’a annoncé ce vendredi, il ne jouera plus sur le circuit ATP après la saison 2024. Impensable il y a quelques années, cette décision ne semble pas si surprenante aujourd’hui. Thiem n’est pas un joueur ordinaire. Très soutenu, il a inspiré toute une flopée de joueurs et joueuses dans le monde entier. Que cela soit de par son fair-play légendaire, de par ses revers à une main splendides ou de par son intensité physique absolument démentielle, ‘Domi’ n’a jamais laissé son public indifférent. Bien que profondément attristante, cette décision appartient au champion autrichien et il s’agit désormais de la respecter. Surtout, au vu de son pedigree. Personne ne voulait en arriver là, même pas Thiem. Simplement, son physique a décidé pour lui : “Mon poignet n'est pas comme il devrait être et comme je le voudrais. Je pense à cette décision depuis longtemps, j'y ai pensé très attentivement. J'ai bien sûr aussi pensé à mon parcours dans le tennis, qui a été incroyable. J'ai eu du succès et gagné des trophées dont je n'avais jamais rêvé. Je suis très reconnaissant de cette expérience. Mais je suis arrivé à la conclusion que la décision d'arrêter ma carrière cette année est la seule bonne décision” (propos diffusés par le champion sur Instagram). Ainsi, alors qu’il vivra ses derniers frissons sur le circuit ATP cette année, à commencer par Roland-Garros où il a atteint la finale par deux fois, l’heure est venue de se pencher sur l’histoire d’un joueur qui aura marqué toute une génération. - Une vié entière dédiée au tennis Dominic Thiem devait être un joueur de tennis professionnel. Né à Wiener-Neustadt (à côté de Vienne), il évolue raquette en main dès son plus jeune âge. S’entraînant au sein de l’académie de tennis de Vienne où enseignent ses parents, il progresse à toute vitesse. Rapidement appelé à faire de grandes choses, ‘Domi’ est repéré par Gunter Bresnik (entraîneur de Becker, McEnroe ou Lecomte) en 2002, à l’âge de 9 ans. Voyant son potentiel évident, le coach autrichien le prend sous son aile et une collaboration longue de 17 ans voit le jour (de 2002 à 2019). Fidèle à son statut d’entraîneur ambitieux, Bresnik force son jeune poulain à faire évoluer son jeu, l’incitant notamment à adopter un revers à une main. Jusqu’ici très défensif, Domi évolue progressivement vers un jeu bien plus tourné vers l’avant. Si les premiers résultats en compétition ne sont pas fameux, il change finalement de dimension. - L'éclosion d’un prodige Le passage de l’Autrichien chez les Juniors est bon. Il atteint notamment la finale de Roland-Garros et remporte l’Orange Bowl. Son statut de champion en devenir lui offre plusieurs invitations pour participer à quelques tournois ATP. On retiendra notamment sa victoire face à Thomas Muster, plus grand joueur de l’histoire du tennis autrichien, à Vienne. Pour la plupart des spécialistes, le passage de flambeau a lieu. Si “Munsterminator” dit adieu, “Dominator” voit le jour. Passant professionnel à l’âge de 19 ans, en 2012, il franchit les étapes une par une. Remportant trois titres sur le circuit Future (troisième division) en 2012 puis deux titres en Challenger (deuxième division) en 2013, il passe, en deux ans, de la 640e place mondiale à la 139e. Malgré ses jolies performances sur le circuit secondaire, ‘Domi’ reste très largement inconnu du grand public. A ce titre, 2014 est l’année de l’éclosion. Intégrant le top 100 mondial comme un boulet de canon, il finit même la saison dans le top 50 (39e). Fort d’une année chargée de 35 victoires sur le circuit, Thiem crève l’écran. Après quelques résultats références tels qu’une victoire face à Stan Wawrinka à Madrid (1-6, 6-2, 6-4), un huitième de finale à l’US Open (perdu face à Berdych 6-1, 6-2, 6-4) ou un deuxième tour de gala face à Nadal à Roland-Garros (défaite 6-2, 6-2, 6-3 en 2h09), son talent saute aux yeux. L’année suivante (2015), l’Autrichien, toujours aussi affamé, continue sa belle progression pour intégrer le top 20. Parmi ses principaux faits d’armes, on notera bien sûr les trois premiers titres ATP de sa belle carrière (Nice, Umag, Gstaad). - D’espoir à cador : Domi devient Dominator Déjà très regardé, l’Autrichien change clairement de catégorie à partir de 2016. Intégrant le top 10 mondial en juin, il ne le quitte plus pendant plus de 5 ans. Remportant quatre titres ATP (Buenos Aires, Nice, Stuttgart, Acapulco), il devient, à 22 ans, une valeur sûre du circuit. Battant Rafael Nadal sur terre battue (6-4, 4-6, 7-6 à Buenos Aires) puis Federer sur gazon (3-6, 7-6, 6-4 à Stuttgart), Thiem continue de marquer les esprits. Le point d’orgue de sa saison 2016 est bien entendu sa demi-finale à Roland-Garros (défaite 6-2, 6-1, 6-4 face à Djokovic). Désormais attendu au tournant par ses rivaux, il stabilise son très bon niveau
ranking Top 5 sâmbătă 11
pebulet 1 pebulet 12pct
Cheba 2 Cheba 10pct
tomfox 3 tomfox 10pct
jinga 4 jinga 10pct
Play the predictions
415 missing translations
Please help us to translate TennisTemple