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Nikolay Davydenko
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Nikolay Davydenko
 
Michael Russell
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Alcaraz plus fort que Sinner et en finale à Roland-Garros ! Le choc a finalement bien tenu ses promesses ! Carlos Alcaraz vient de se qualifier pour la finale de cette édition 2024 de Roland-Garros au terme d'une bataille indécise de bout en bout. L'Espagnol a dominé Jannik Sinner en un peu plus de 4 heures et 5 manches (2-6, 6-3, 3-6, 7-5, 6-2). C'est peut-être physiquement que le n°3 mondial a mieux tenu la distance que l'Italien. Les deux joueurs ont en effet débuté la partie sur une cadence très élevée, frappant la balle avec une puissance phénoménale tout en essayant de la prendre le plus tôt possible pour déborder l'adversaire. Une cadence infernale qui a vraisemblablement laissé des traces chez les deux joueurs. Mais, alors qu'on pouvait s'inquiéter de leur état en milieu de partie, ils sont tous les deux parvenus à retrouver leur meilleur niveau dans les 4e et 5e sets pour conclure en nous proposant un très beau spectacle. Alcaraz prive donc Sinner d'une deuxième finale consécutive en Grand Chelem et tentera, pour sa part, de remporter son 3e titre Majeur, après l'US Open 2022 et Wimbledon 2023. En finale, dimanche, il affrontera le vainqueur de la seconde demie qui, comme l'an dernier, va maintenant opposer Alexander Zverev à Casper Ruud.
Brillant, Alcaraz emmène Sinner au cinquième set à Roland-Garros !  Cette-fois, il y a eu un vrai combat sur le court Philippe Chatrier. Après trois sets très décousus, les deux hommes ont enfin très bien joué en même temps. Retrouvant son meilleur tennis, l’Espagnol a réalisé une fin de quatrième acte absolument prodigieuse pour recoller à un set partout. Face à un Sinner visiblement totalement remis de son épisode de crampes, l’Espagnol a su lâcher plusieurs coups exceptionnels pour arracher un ultime set (6-2, 3-6, 6-3, 4-6 après 3h18 de jeu). ‘Carlito’ est un joueur assez surprenant. Incapable de saisir ses occasions face à un Sinner affaibli physiquement, il a parfaitement muselé un Italien bien plus fort dans cette quatrième manche. Retrouvant plus percussion en fond de court (51 coups gagnants, 47 fautes directes) et réalisant plusieurs points de folie, l'Espagnol brille sur le court. Echangeant ses fautes directes contre des coups gagnants, il a su emporter le public avec lui pour trouver l'énergie nécessaire au gain de cette manche. Au vu de la physionomie du match, mais également du niveau de jeu du Transalpin (31 coups gagnants, 40 fautes directes), cet ultime set semble amplement mérité ! Il va donc falloir jouer une manche décisive pour départager les deux hommes !
Sinner reprend les devants face à Alcaraz ! C’est un peu contre le cours du jeu que Jannik Sinner vient de s’adjuger le troisième set de cette demi-finale face à Carlos Alcaraz (6-2, 3-6, 6-3 après 2h30 de jeu). Assez loin de son meilleur tennis (23 coups gagnants, 36 fautes directes), mais surtout visiblement pas au mieux physiquement, le Transalpin a malgré tout réussi à profiter de la nervosité de son adversaire pour se retrouver à un set de la finale de Roland-Garros. Il faut bien le dire, la qualité de jeu n’est pas vraiment celle que l’on aurait espéré voir. Dans un match très décousu, les deux hommes n’atteignent pas vraiment des sommets de leur jeu. D’un côté du terrain, Alcaraz semble affreusement nerveux et a beaucoup de mal à reproduire de bonnes séquences. Partant beaucoup trop à la faute (34 coups gagnants, 38 fautes directes) et semblant quelque peu désemparé par la situation, l’Espagnol n’arrive pas à saisir sa chance. De l’autre, Sinner n’est plus du tout dans son assiette. Visiblement gêné à la hanche depuis le deuxième set, il semble qu’il commence également à cramper au niveau de la main droite et du bras droit. Malgré tout, l’Italien a su se montrer combatif et opportuniste pour, contre le cours du jeu, reprendre les commandes du match. Dans un scénario assez incompréhensible, c’est donc l’Italien qui s’est montré le plus malin. Cherchant à écourter les échanges et frappant de plus en plus fort, il a su profiter d’un numéro 3 mondial complètement apathique qui a fait le jeu de son adversaire. Enchaînant les fautes grossières et jouant en plein dans le coup droit de Sinner, ‘Carlito’ pourrait sortir de ce match avec d’immenses regrets.
Sinner diminué physiquement face à Alcaraz ? Jannik Sinner avait commencé très, très fort sa demi-finale face à Carlos Alcaraz, mais il semblerait que l'Italien soit en train de coincer physiquement alors que les deux hommes sont à égalité un set partout (6-2, 3-6) après 2 heures de match. Sinner est déjà victime de débuts de crampes (à l'avant-bras droit et à la main droite, il a fait appel au kiné), tout en commençant également à donner l'impression de boiter (le retour de ses problèmes de hanche ?). De l'autre côté du filet, Alcaraz ne semble toutefois pas au sommet de sa forme physique non plus (avant-bras droit lui aussi ?). L'Espagnol a très nettement diminué en vitesse de premier service. Probablement le résultat de la conjugaison du stress et de l'intensité monumentale du début de match que se sont livrés les deux joueurs.
Costaud, Alcaraz recolle face à Sinner !  Carlos Alcaraz s’est enfin réveillé. Sans pour autant jouer son meilleur tennis, l’Espagnol a parfaitement profité d’une baisse de régime assez surprenante de Jannik Sinner (2 coups gagnants, 11 fautes directes) pour recoller. Mettant plus de poids dans ses frappes, c’est, à l’inverse du premier set, le joueur de 21 ans qui a distribué le jeu et non plus l’Italien. Plus solide que son adversaire, il a su mettre l’intensité nécessaire pour s’adjuger la deuxième manche (2-6, 6-3 après 1h29 de jeu). Dans un match d’une qualité de jeu pour l’instant moins élevée que ce que l’on aurait pu supposer, les deux hommes jouent pour l’instant au jeu des vases communicants : ils ne jouent jamais bien en même temps. Après une entame de partie tonitruante, l’Italien s’est mis à curieusement baisser pavillon physiquement. Alors qu’il menait d’un set et d’un break, il a perdu en intensité. Défendant avec une qualité inférieure et mettant moins d’engagement dans ses frappes de balles, le Transalpin a subi la loi d’un Espagnol très opportuniste (concédant les 6 derniers jeux du set). Semblant même parfois traîner la patte, c’est assez logiquement qu’Alcaraz s’est engouffré dans la brèche. Sans éblouir par son talent, le prodige espagnol a assuré l’essentiel, se montrant bien plus agressif et profitant d’un adversaire beaucoup moins solide en défense (14 coups gagnants, 13 fautes directes).  Tout reste donc à faire sur le Chatrier où les deux joueurs sont à présent dos à dos !