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Roger Federer
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Novak Djokovic
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Roger Federer
 
Novak Djokovic
42
Vârstă
36
185cm
Înălțime
188cm
85kg
Greutate
77kg
-
Rang
1
-
Past 6 months
-
Întâlniri directe
22
Toate
27
17
Dur
20
30 ian 2020
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14 nov 2019
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17 apr 2006
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Zverev fait l’éloge des tifosi romains : “J’ai l’impression d’être italien” Alexander Zverev a été malmené, mais il a tenu son rang ce vendredi.  Jusqu’ici très dominateur, il s’est fait peur en demi-finale. Opposé à un Alejandro Tabilo vivant un rêve éveillé, tombeur de Djokovic et Khachanov notamment, l’Allemand a longtemps été dominé. Balayé dans le premier acte, il a finalement su faire le dos rond pour arracher le deuxième set au tie-break avant de dérouler par la suite (1-6, 7-6, 6-2).  Qualifié pour la finale, Zverev a tenu à rendre hommage au public italien. En effet, Zverev explique que l’Italie est l’un des pays où il a le plus de plaisir à jouer (déjà vainqueur de Rome en 2017) : “C'est drôle, l'Italie est l'un des trois pays où j'ai le plus de soutien. J'ai l'impression d'être Italien quand je joue ici. Je reçois tellement d'amour, tellement d'énergie de la part du public, tout le temps. Même aujourd'hui (face à Tabilo, en demi-finale). Normalement, le public veut toujours que l'Outsider se débrouille bien. Là, j'ai vraiment senti qu'ils étaient derrière moi. Cela aide. Je l'apprécie vraiment. Les Italiens sont un public de 'fous', et j'aime ça. J'aime l'énergie. J'aime quand ils sont bruyants. Et quand ils sont pour vous, c'est encore mieux. Je ne remplacerai pas Jannik (Sinner, 2e mondial et porte-drapeau du tennis transalpin), mais peut-être que pour cette semaine, s'ils peuvent le voir comme ça, j'en suis heureux.” Revenant sur le match, le 5e joueur mondial reconnaît être passé par toutes les émotions : “Je n'ai pas bien joué au premier set, mais c'est à cause de lui que je n'ai pas bien joué. Il a bien démarré, frappant très fort, avec beaucoup d'amorties. Il jouait de manière extrêmement agressive. Il ne m'a pas laissé jouer. J'ai eu le mérite de m'accrocher. Les choses ont changé dans le tie-break, et la dynamique s'est inversée ensuite. [...] Il n'est pas facile de jouer de manière agressive contre un adversaire qui essaie de jouer tous les coups à fond. Dans le premier set, j'ai à peine touché la balle. Pour jouer agressif, il faut avoir du rythme. Je ne l'ai pas eu aujourd'hui.  En fin de compte, il s'agit aussi parfois de trouver des solutions. J'en ai trouvé une, surtout dans le tie-break du deuxième set, et j'étais plus à l'aise dans mes coups à la fin.” 
Devenu père en mars, Musetti se confie : ‘’J’ai presque passé un mois sans le voir’’  Il existe des moments dans la vie où les vies professionnelles et personnelles s’entrechoquent. Lorenzo Musetti, véritable prodige du tennis italien, en sait quelque chose. L’espoir italien, 29e mondial cette semaine et qualifié pour la finale du Challenger 175 de Turin ce dimanche, est en effet devenu père en mars dernier. À seulement 22 ans, le droitier au bras merveilleux a découvert la complexité que pouvait représenter une vie de famille lorsque l’on est sportif professionnel.  Interrogé à ce sujet, il n’a pas fait dans la langue de bois. Avouant que son fils lui manquait, il explique profiter des moments où il joue en Italie pour passer un maximum de temps avec son fils : “Je pense que le mérite revient aussi à ma compagne, et également à ma grand-mère, qui me soutiennent beaucoup. Je profite vraiment, en ce moment, de voir mon fils grandir. Cela fait des semaines que, parce qu’il n’a pas les papiers nécessaires, il n’a pas pu voyager, prendre l’avion, etc.  J’ai passé presque un mois sans le voir depuis sa naissance (son fils a 2 mois), mais quand je suis revenu à la maison, je l’ai vu grandir. Vivre avec lui depuis Rome est merveilleux, nous sommes ensemble toute la journée depuis presque deux semaines.  Cela me réchauffe le cœur et me fait du bien d’être avec Ludovico (son bébé). Du point de vue de la vie privée, je me sens très bien, et j’essaie de transposer ces sentiments dans le domaine professionnel.” 
Insolite : Battue, Sabalenka garde le sourire : “Je voudrais remercier mon équipe de m’avoir aidée à perdre” Comme à Madrid, il y a deux semaines, Aryna Sabalenka s’est inclinée en finale de Rome. Battue pour la deuxième fois, en deux tournois, par Iga Swiatek, la Biélorusse n’en a pas perdu son sens de l’humour. Si elle a été bien plus largement dominée qu’en Espagne où elle s’était procuré plusieurs balles de match, la numéro 2 mondiale a tâché de relativiser. Ainsi, lors de la cérémonie de remise des trophées, elle a taquiné son staff. Connue pour avoir une excellente relation avec toute son équipe, Sabalenka a ainsi, devant un public hilare, décoché : “Bien sûr, un dernier mot et pas des moindres, je voudrais remercier mon équipe pour m’avoir aidé à perdre une autre finale (rires). C’est de votre faute les gars ! … Je rigole évidemment.” Sans chercher le scandale, on peut se demander si derrière la remarque humoristique, il ne se cache pas une pointe de reproche ?
Bluffante de réalisme, Swiatek mate Sabalenka et s’impose à Rome !  Iga Swiatek continue d’écrire son histoire. D’une sérénité bluffante, elle a parfaitement géré un match qui avait tout pour devenir un sacré bourbier. Imperturbable, elle a accéléré quand il fallait pour s’imposer à Rome. Assumant plus que jamais son statut, Swiatek doit commencer à créer des sueurs froides dans l'esprit de plusieurs joueuses. Après un premier set où la Polonaise a survolé les débats (6-2), le match aurait pu devenir bien plus complexe. En effet, Aryna Sabalenka a réalisé une entame de deuxième acte de très haut niveau, prenant la balle très tôt et agressant la numéro 1 mondiale en permanence. Acculée derrière sa ligne de fond, Swiatek a fait preuve d’un réalisme exceptionnel, sauvant les 7 balles de break que se sera procurée son adversaire. Attendant son heure, elle a profité d’une très légère baisse de régime de son adversaire pour remporter les 4 derniers jeux du match (6-2, 6-3 en 1h28).  À seulement 22 ans, Swiatek continue de bâtir sa légende. Sacrée à Rome juste après Madrid, le tout sans perdre un set, elle réalise donc un impensable doublé. C'est simple elle n'est que la troisième joueuse à y parvenir, la première depuis Serena Williams en 2013. C'est fort logiquement qu'elle va arriver à Paris avec le costume d’ultra favorite. Alors qu’il lui reste encore énormément d’années devant elle, la droitière aura l'occasion, dans un peu plus d’une semaine, d’aller chercher, déjà, un 4e sacre à Roland-Garros.  Ses adversaires sont prévenus : Swiatek sur ocre, c’est presque injouable ! 
Intraitable, Swiatek prend les devants à Rome  Plus souveraine que jamais, Iga Swiatek s’est adjugée avec beaucoup d’autorité le premier acte de la finale du WTA 1000 de Rome. Opposée à une Aryna Sabalenka accrocheuse, mais bien trop irrégulière, la Polonaise est déjà à une manche du titre (6-2 en 36 minutes). Breakant rapidement son adversaire, elle a parfaitement géré les points importants (2 balles de break converties sur 3). D’une solidité épatante, elle a su résister aux frappes de feu de son adversaire pour remporter très logiquement ce 1er set.  Bien trop nerveuse jusqu'alors, la numéro 2 mondiale va devoir afficher un tout autre visage si elle veut pouvoir faire douter une adversaire quasi intouchable. L’équation est simple pour la Biélorusse : soit elle arrive à mettre bien plus d’intensité et à réduire drastiquement son nombre de fautes directes, soit la finale risque de tourner à la démonstration.
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